L'histoire de OSSA

Cher lecteur cet historique a été trouvé sur le net sut TuMotoVerde.

Comme je cause pas bien l'espagnol j'ai fait causer goggle trad mais c'est pas trop digeste...


Histoire d'Ossa

La famille A tourné, à l'avant dont se trouvait Manuel Giro', ils ont fondé en 1928 l'entreprise Orfeo Sincronic S.A (OSSA), dont la première activité était consacrée à la fabrication de matériel sonore pour l'industrie du cinéma, ainsi que les machines cinématographiques en incluant des projecteurs, en arrivant à obtenir 65% du marché espagnol.

 Manuel Giro'Minguella est né à Barcelone durant l'année 1907, en ce temps son père possédait une industrie textile. Ceci est ago curieux puisqu'aussi par ces temps Francisco X. Bulto, CO- fondateur Montesa et postérieur fondateur de Bultaco, naissait à Barcelone, c'était précisement l'année 1912. Et ils ne finissent pas ici les coïncidences, puisque sa famille était aussi propriétaire d'une entreprise textile. Il est pour ete motif que ses familles étaient même connu et maintenaient une bonne relation commerciale et personnelle. Cette relation s'est convertie, avec le pas des années, dans une amitié entre Manuel et Francisco qui a produit ses fruits puisque là on forge la naissance de Montesa.

 Manuel Giro'fils, s'est formé comme fonctionnaire de la Marine Marchande pendant quatre années, en abandonnant ce poste pour suivre avec les affaires cinématographiques de sa famille.

 Manuel était un grand passionné du mécanicien, et à âge très précoce a disposé en outre d'une motocyclette de quatre temps, d'être un grand ventilateur à à ce qui est nautique, en arrivant à être négociant marin, profession qui a abandonné al marier pour consacrerait al affaire familiale. Et est qu'à ces moments sa famille avait abandonné l'affaire textile pour aborder un nouveau projet, l'affaire émergente de de cinématographique. Il a ainsi été que durant l'année 1928 la nouvelle entreprise familiale s'était fondée : Orfheo Sincronic, S.A (O.S.S.A). L'idée était d'essayer de fournir tous les équipements nécessaires pour équiper aux nouveaux cinematógrafos.

 Mais Manuel ne pouvait pas oublier sa passion par les moteurs, donc quand l'entreprise a commencé à donner des bénéfices, se le talent pour consacrer du temps à sa passion par le mécanicien et ce qui est motonáutica.

 Achète une Norton et une Norton CS1de des carrières au pilote Percy Hunt. Dans les compétitions de motonáutica, il a connu à M. Soriano, un chef d'entreprise espagnol qui travaillait en France, et qui fabriquait les meilleurs moteurs de motonáutica du moment.

 Au peu de temps, M. Soriano et M. Giro', arrivaient à un accord commercial pour pouvoir construire les moteurs dehors de la hutte dans les ateliers d'OSSA à Barcelone, puisque ceux-ci disposaient des meilleurs outillages de précision.

 Comme base pour favoriser ces nouveaux propulseurs, M. Soriano lui-même et M. Giro', ont pris part les preuves plus importantes que motonáutica du moment, en travaillant d'importants succès, ce qu'il a aidé à faire connaître la marque.

 De cette manière tellement singulière, la famille A tourné est entrée dans l'affaire des moteurs. Mais le penchant Manuel par les motos, avec qu'il disposait déjà de machines adéquates grâce à la fabrication des moteurs dehors brode qu'il effectuait avec Ricardo De Soria, le je convaincs à son Ernesto frère de l'occasion qui avaient devant eux pour entamer la fabrication de motocyclettes. Tous les deux ont obtenu aide économique du reste de leurs parents et ont acheté en 1935 l'usine d'automobiles Nationale Pêcheraient.

 Dans les premiers modèles ont monté les moteurs et les caisses de changement fabriqués en Angleterre, en laissant pour par la suite la production propre avec des moteurs monocylindriques de quatre temps dans les cylindrées de 250cc, 350cc et 500cc, ainsi que d'autres moteurs de de quatre cylindres et de d'autres plus économiques que fabrication propre.

 Durant l'année 1942, on présente le premier prototype avec moteur Villiers (anglais) de 125cc de deux temps et avec une puissance de de 4 CV, en incorporant un changement de trois vitesses, et conçue avec Sebastián Nadal. Cette monture a obtenu une grande acceptation par le public. Bien que ce modèle n'ait pas évolué, étant donné le penumbra économique que ces années détruisait.


L'Espagne et à à laquelle en Espagne par ces jours il n'existait aucune industrie auxiliaire, ce qui les obligeait à être faites tout type de pièces dans son atelier propre.

 Tandis que, la famille A tourné elle était encore insérée dans la fabrication des équipements cinématographiques, en plus de fournir des composants pour d'autres marques de motocyclettes et d'automobiles.

 En 1940, Manuel Giro'a installé un moteur De Soria/OSSA dans un cadre d'une BMW R-12 avec side-car, avec laquelle a pris part différentes compétitions type des carrières en colline, bien que l'invention ne soit pas précisément l'idéal pour ces menesteres, surtout par ce qui est difficile qui était de conduire ! ! !

 Sur l'année 1942, naît le second prototype d'OSSA avec moteur propre inspiré l'allemand DKW RT 125 de deux temps et avec une cylindrée 125cc, puissance de de 5 CV, de tout cela accompagné par une bonne partie cycle avec suspension avant type téléscopique et du type oscillant arrière avec ressort de gomme sous forme de morceaux.
 Ce modèle est définitivement passé à la série où en 1951 on commencerait à vendre les premières unités qui ont obtenu un grand succès et une acceptation en produisant davantage de demande que fabrication de de cette dernière.
 Des premières productions de 10 unités par année en 1950, passerait à excellent à des 3.942 durant l'année 1955, surtout étant un produit qui a une grande qualité finie, de robustesse et de confort.

 Mais n'a pas été tout aussi facile qu'il paraît, entre les années 1943 et 1951, Manuel a momentanémentmomentanéement dû suspendre le développement de son idée de fabrication en série en arrivant à vendre par très peu de grand argent part de matériel à son amical Francisco Volume celui qui avec Pedro Permanyer tenia très avancé le projet d'une motocyclette, naissant ainsi la marque Montesa.

 Le succès de Montesa a été immédiat, et Manuel a vu comme son bonne idée lui parvenaient à mener à bien d'autres en définitive lui on que avançait, c'est pourquoi pense à nouveau son projet convaincu de pouvoir le porter à à bon termine.

 Après la fin de la guerre l'importation de machines s'avère plus facile, et ainsi Manuel ose fabriquer son moteur propre inspiré la DKW. Mais clairement, il était commencé à nouveau à partir presque de de zéro dans la conception d'une moto plus moderne, qui porterait maintenant châssis de double berceau avec fourche téléscopique, une plus grande capacité de réservoir, garde-boue avant enveloppant et système de suspension arrière par basculant avec des pièces de gomme qui offraient un confort inconnu jusqu'alors sur le marché espagnol.
 Le garde-boue arrière était très enveloppant et très robuste, avec une selle avec quai de suspension horizontale. Le moteur avait 5 CV à à 4.500 r.p.m, et était très élastique.

 Le premier prototype je me présente dans la Foire d'échantillons de Barcelone durant l'année 1948 (OSSA 125 "Soufflets"). Cette moto incorporait l'emblème de son nouveau projet : un trèfle des marais de 4 feuilles. Et est que Manuel était assez supersticieux et en outre rendu des automobiles Alfa Romeo.

 La moto a été très bien acceptée, et maintenant si qui Manuel était eu tout par prêt. Le lancement je suis effectué vers le milieu de 1950, bien qu'on ait introduit avant quelques changements dans la fourche, le garde-boue avant, le pilote arrière, et le bouchon du réservoir. Les premières unités étaient noires avec le réservoir gris avec ce qui est latéraux et la partie supérieure dans noir, filetage doré en séparant les couleurs et avec des pneus chromés. La fourche incorporait des soufflets de gomme pour la protection des barres, de là son nom populaire : "Soufflets"

 EN 1953 est apparue la seconde version améliorée, avec une nouvelle fourche de section plus petite, et à à laquelle populairement nous connaissons comme "Petits bâtonnets", bien que son nom commercial était 125 A.

 En ce temps Manuel il a décidé d'investir presque tous les bénéfices dans la production et développe, ce qui lui a permis de lancer un cyclomoteur basé le modèle Allemand Victoire. Je me présente dans la Foire d'échantillons de Barcelone durant l'année 1954, et était presque comme une bicyclette avec poutre centrale de plaque imprimée qui était utilisée comme réservoir. Le moteur accrochait du châssis et tenia une puissance de de 1.2 CV à à 4.500 r.p.m





OSSA depuis ses principes et comme une partie de sa promotion, prend part tout type de de compétitions, de tant de vitesse comme motocross et régularité, en obtenant de bons résultats, dans les championnats de l'Espagne, et au niveau international dans les ISDT de l'Autriche, où ils gagnent la médaille d'argent et de cuivre avec les D-51.
 Prennent part aussi les ISDT de l'Allemagne, en vue de développer un nouveau modèle, la 125-B et 150. A niveau étatique, les pilotes officiels d'OSSA, Romeu et Palero, obtiennent la médaille d'or, dans le Trophée Motocycliste Deux Jours de Montagne du Réel M.C de Catalogne. En 1965 on a en outre organisé pour la première fois, le premier Championnat de l'Espagne de Tout Terrain, qui serait gagné par Carlos A tourné avec l'OSSA 175 Sport.

 Bien que réellement le résultat sportif le soit de de moins, la véritable intention était de pouvoir vérifier la robustesse de ses modèles.

 En 1955 Manuel, avec Arturo et Elizalde Salvateur, il fonde l'entreprise Telesco, consacrée à la fabrication de suspensions, qui comme nous savons déjà, au fil du temps arriveraient à équiper la plupart des usines de notre pays. Et est que Manuel avait une vision globale de l'affaire et on ne voulait pas imposer des limitations.

 Avec l'incorporation de Sandro Colombo, on entame une grande étape pour l'usine OSSA. D'abord on conçoit une nouvelle version de de la 125 avec nouveau cadre de plaque imprimée, nouveaux garde-boue, réservoir, siège de deux places, fourche et amortisseurs arrières de Telesco.
 On obtient ainsi une nouvelle moto de lignes plus actuelles et de style italien : Les nouvelle 125 B

 En 1958 on évolue les 125 B en devenant les 125 b- 2, aussi durant la même année on lance al marché la 150 Commercial qui résulte d'augmenter les niveaux del roule et on obtient 8 CV, seulement change du respect aux 125 B, en laissant de côté l'augmentation de cylindrée, la décoration, la chaîne totalement carrozada et le bout très flotté.

 Apparaît ensuite la 125 C qui de nouveau utilise un châssis de tubes, une nouvelle version de cyclomoteur et... la moto de quatre temps ! ! ! Et est que la médiation de Sandro colombo permet à Ossa d'incorporer des moteurs Morini de de 175 cc. Celui-ci est un moteur de de 12 CV dans la première version et de 15 CV dans la deuxième et a permis à Ossa de prendre part des compétitions de vitesse.

 Mentez tant d'ossa il essayait de dépasser la crise de ventes des années 60, en arrivant à être fabriqué pour diversifier les sources de recettes un système de ventilation forcée pour adapter le moteur aux Karts, on entre aussi sur le marché des triporteurs à moteur et les cultivateurs.

 Ils étaient des temps difficiles, mais la volonté d'Eduardo A tourné, fils Manuel, aide en grande partie à dépasser les difficultés. Avec seulement 15 années je construis un moteur d'aviation à l'échelle, je m'incorpore à l'usine avant de finir la carrière. En prenant comme base le moteur conçu par Sandro Colombo prodiguez son développement conseillé depuis l'Italie. Comme résultat apparaît la 160, avec des versions moins frappantes mais d'un plus grand succès de ventes comme la 160T, la 160 GT et la 160 T2 avec deux versions différentes. En outre en 1965 naît la 175 Sport, de desquelles on a préparé deux unités pour prendre part les 24 heures de Montjuich de de 1967, qui pour surprise de de tout le monde sont restées en 1ª et 2ª position ! ! ! ! !

 Il a ainsi été comme à partir de 1964, Eduardo A tourné, fils Manuel qui venait de faire les études d'ingénieur, se charge du département de prototypes d'OSSA, en changeant radicalement l'analyse des produits de la marque, en montrant une nouvelle facette plus sportive des modèles tant de route comme de montagne, en pensant déjà directement son exportation au marché des Etats-Unis.
 Avec ces nouvelles directives on a commencé à contester des carrières à l'étranger, comme les 500 aucuns milles de Thruxton et plus. On a augmenté la cylindrée de des 175 jusqu'à arriver aux 230 cc, nouveaux échappements, cultivée, réservoir, colin, estriberas et tabarro. Ces changements permettaient d'arriver à dégager les 175 Km/h de pointe.



Aussi fruit de ce changement, on présenterait en 196ën le Salon de Milan, le premier modèle réellement étudié pour la montagne, la Scrambler de 230cc d'enduro dérivée de de son 230, qui en réalité sera une moto type trial, à à laquelle je négocie année ensuite le ils suivraient dans le Salon de Barcelone la Scrambler 175-SE de de Trial et de celle d'Enduro, en variant uniquement la puissance du moteur, moto qui avec l'aide du pilote britannique Mike Andrews lui évolueraient jusqu'à monter un moteur de 250cc, dont la caractéristique plus importante est l'assemblage innovateur de l'allumage électronique, en évitant que le moteur manque en passant par des zones humides, en plus d'être très étanche Avec cette monture on obtient la médaille d'or dans les Six Jours Internationaux de Tout Terrain de la Pologne, outre deux médailles d'or dans le Championnat de l'Espagne.

 Mais il y a encore plus, Ossa celle-ci en expansion et en développant une moto de vitesse de 250 cc, motos que le pilote madrilène Santiago Herrero a développées

 Nous sommes durant l'année 1967, l'ancienne usine ne peut pas donner plus de si, ce pourquoi Ossa est transféré aux nouvelles installations de la Zone Franche dans des Hôpitaux de Llobregat, avec de nouvelles machines qu'il lui permet d'améliorer et d'augmenter la production.
 Aussi en 1967 Yankee Moteur Corporation, importateur UTILISE d'Ossa demande à usine un moteur bicilindrico de deux temps pour monter dans une Scrambler, celui-là a été le premier pas pour la sortie de l'Yankee 500 célèbre.

 Dans le maître 1968 on travaille dans le développement de cet Américain bicilindrico, qui à la fin de cette même année présente le premier modèle avec 40 CV à 6.500 r.p.m.. Modèle avec lequel se sont courues les 24 Heures de Montjuich bien que sans trop de fortune.
 Ce modèle passe à la série après un long développement, avec le nom d'Yankee TT avec moteur bicilindrico de 460cc.


 OSSA est décanté chaque fois plus dans la compétition hors de route, et surtout au moment que son apprécié premier pilote, Santiago Herrero décède en 1970 par un accident souffert entretemps il conteste le TT de l'Ile de Man.

 En 1969, OSSA vaste sa capacité de production, montrant de nouveaux modèles, comme l'Enduro 250 l'Amérique, moto dérivée directement de la compétition, homologuée pour son utilisation urbaine, pensée pour le marché américain. Une année plus tard les pilotes Mike Andrews et Ernest G.R.Page obtiendraient deux médailles d'or, outre cinq d'argent avec (A tourné, Millet, Tonneau, Tell et Hicks) et trois de bronze. De ces succès on optimise le modèle dans des prestations et finis, en évoluant il y avait la nouvelle Enduro-71, en effectuant à partir de celle-ci une nouvelle version pour l'Amérique la 250 AE-71, et la 175 AE-71. En compétition et concrètement dans les Deux Jours Internationaux de TT de de 1971, Miguel Monràs vaincrait dans la classe Júnior.

 En 1972 la nouvelle Enduro me présente 250, version améliorée de son prédécesseur l'Enduro 71, qui par la suite suis remplacée Aussi par l'Enduro 350. a été mise à la vente aux Etats-Unis l'Yankee enduro 500 Z.

 L'été de de 1973, est présenté les nouveaux modèles Yankee 500 SS, Yankee 500 Enduro Six Days, l'Explorer de 250cc, et renouvelée l'AE Enduro 73 Six Days, caractérisée étant une des meilleures motos de tout terrain du monde de ces temps.

 Une autre nouveauté a été l'Enduro Phantom de 125cc, une moto très légère, puissante, de réponse lisse et stable dérivée du modèle de cross. Deux années ensuite ce modèle sera développé avec un nouveau mécanicien de 350cc, et une autre variante, la Dessert de 250cc.

 En 1974 on lance la première moto de cross, avec versones de de 125,.175 et 250 cc. De la Phantom dérive la nouvelle Desert Phantom 250, une moto de cross qui peut être enregistrée ! ! !
 Entretemps en compétition suivent les succès, cette fois de la main du pilote Toni Marsinyach, Champion de l'Espagne TT en 1974.






C'est l'année 1975, Ossa fabrique sa nouvelle 250 T (Tourisme), avec un grand succès de ventes il aide à Ossa à finir son célèbre Yankee 500.
 À partir de 1975, disparaît la nomenclature Enduro dans les modèles d'OSSA, en mettant à être appelée Pioneer Superbe, en profitant de ce changement, pour la diviser en partant d'une même base, mais avec différents éléments, deux différenciés modèles, la Pioner Superbe : destinée aux utilisateurs les plus pacifiques, et la Dessert pour ceux plus sportifs. Apparaîtra ce qui est exquise Superbe Pioneer 250cc "Marsinyach Reproduction" très semblable au champion de l'Espagne. Une année plus tard naît une nouvelle évolution réellement dérivée de la compétition, la Dessert de 250cc, avec d'importantes améliorations, étant une des motos européennes appréciées pour son utilisation en compétition.
 Autre nouveauté sera la Dessert 74cc, moto pensée pour tout, bien que réellement ce modèle ne soit pas propre, en présentant un modèle déjà existant de la marque Mototrans/Ducati Chemin, modèle que les deux marques prétendaient commercialiser à la fois avec différents noms, aussi la Superbe Pioneer de 350cc, avec davantage de puissance et faibles que sa soeur de 250cc, très maniable, avec de bons freins et suspension.

 Durant l'année 1976 y compris la presse spécialisée bromaba à ce sujet de l'impossibilité pour Ossa de lancer définitivement son Yankee 500, pour cela Ossa à fin d'année commençait déjà à distribuer quelques unités à ses meilleurs concessionnaires.

 Le 1977 sera une année très compliquée pour la signature Catalanne, puisqu'il a eu même d'importants problèmes de type de travail en arrivant à fermer provisoirement l'usine, en passant par une cessation de paiements, due principalement le manque de ressources économiques, puisque ni les fournisseurs ni les banques donnaient aucun crédit, encore ainsi persistent et présentent un nouveau modèle la Desert TT 350cc, nouveau moteur, cas, nouvelle caisse de changements et d'un échappement type écharpe semblable aux Phantom, mais avec une fin silencieuse, même si ce prototype prenait part les compétitions, il n'arriverait pas à la série. À sa place une année plus ont tard présenté, la Desert Phantom de 250cc, une moto de cross mais avec le kit spécifique pour pouvoir être enregistrée dont le pilotage s'avérerait très exigeant.

 Fin 1977, avec davantage de volonté que des ressources, la Famille A tourné réunit du capital suffisant pour arriver à des accords avec des créanciers et des ouvriers et annonce en janvier 1978 le retour à la production.

 Nous sommes en 1979, finalement le fabricant catalan peut retourner HA respirer grâce à un crédit économique de l'administration centrale à travers le Fonds National du Travail, ce qui aidera à l'entreprise OSSA à survivre après une longue année de souffrance par son maintien à flottation, bien qu'avec l'inévitable réduction de personnel, inclusivement de directeurs, comme l'Eduardo mismísimo A tourné.

 À partir de ce moment la marque du trèfle des marais, sera dirigée par M. Augusto Newton et Mario Borràs, en mettant en marche à nouveau l'usine, avec la présentation d'un modèle de tout terrain, l'Ossa Dessert 250cc.
 Cette motocyclette a une bonne acceptation sur le marché, puisque ses principaux rivaux, tant Montesa comme Bultaco, disposent d'un type de client visant a à des modèles de cylindrée supérieure comme sont les 360cc, à la fois le prix de la Dessert la plus abordable est comparé avec la concurrence.

 Le moteur est des quatre transferts, en incorporant un carburateur Bing de de 34 mm d'estárter. La caisse de changements de cinq vitesses et l'embrayage est de disques multiples en bain d'huile, en partageant cette huile avec la caisse de changements.
 Monte un tube d'échappement type "écharpe", avec protection contre ce qui est quemaduras, et une fin silencieuse efficace. Le châssis de double berceau, un bon est mis un terme en tube d'acier, en obtenant une grande légèreté, il dispose en outre des poignées pratiques dans la partie arrière pour pouvoir déplacer la moto dans des zones difficiles. Ce qui est basculant est circulaire type, en montant des amortisseurs arrières de la marque Betor de double quai et avec le réservoir de gaz séparé, en améliorant son parcours. La fourche avant aussi de la marque Betor, est huile type pneumatique avec axe avancé d'un parcours de 220mm. Les pneus de la marque Akron type sans profil renforcé et terminées en couleur or, montant des pneus Pirelli Pentacross.

Histoire d'Ossa

Continuation...

Bien que ce nouveau modèle ait de bonnes qualités générales, le fait de ne pas avoir pris part pendant deux années les compétitions, dénoteront son manque technologie et créativité technique dans son évolution.


 On présente de nouvelles versions pour 1980, comme la nouvelle Dessert de 350cc, pensée pour les ventilateurs puristas, et une nouvelle évolution la Superbe Pioneer de 250cc, modernisée. La compétition au niveau officiel était totalement arrêtée, bien qu'étant donné les problèmes déjà commentés logiques, on essaye de ne perdre aucune commande, par différent qui dehors, en préparant une Dessert de 310cc, il spécifie pour pouvoir prendre part entre les mains du pilote- journaliste Juan Porcar les Rallys de la Tunisie de du 80 et Paris- le Dakar 82. Aussi de l'Ossa balaye 250 avec nouveau cylindre, caréné avant et la partie de cycle renouvelée, la nouvelle Ossa Yankee 500 très améliorée, et à la fin d'année se présente la nouvelle TR 80 de trial développée par Mick Andrews et Francisco Payá.

 Avec la TR 80 il commence à être éprouvé avec l'admission par des lames, mais malheureusement Francisco Payá abandonne Ossa et est remplacé par Tony Jargon en provenance de Bultaco qui est aussi plongé dans une crise profonde.
 Il paraît que le fabrique il est assaini, surtout grâce aux ventes de la TR80 et il commence à penser vendre améliorée une Yankee 500, tandis qu'il sale au marché une version économique de de la 250 250 TOI (tourisme spécial), égal à à celle-ci mais carrozada l'Urbe est autre tentative de donner au marché une moto propre et qu'elle protège tant comme une scooter, aussi il sale la nouvelle Desert 350.
 L'année suivante on modernise le Gobelet 250, et il paraissait que la crise remontait mais n'était pas ainsi. En 1982 la crise est générale entre les usines nationales et la Generalitat de Catalogne présente un plan d'assainissement, qui entre autres choses considère une absorption d'Ossa par Montesa, avec la contribution suffisante de capital comme pour écarter à tous les employés d'Ossa. Entretemps Montesa arrive à un accord avec Bride (que je signifie finalement son absorption)

 Ainsi on arrive à à 1983, année où Ossa est transféré à la rue Chrome 89 en Hospitalet de Llobregat, ils sont des locaux beaucoup plus petits et le personnel est réduit aussi à 150 personnes, change son nom commercial par celui d'Ossa Moto, S.A

 à cette époque on commente que l'usine va retourner HA prendre part de manière officielle les carrières, et que les pilotes de la marque évoluent nouveaux modèles, bien qu'il arrive même à se prendre part les 24 Heures de Tout Terrain de Moià (Barcelone) de du 83 avec un nouveau prototype, mais il ne sera finalement pas ainsi en étant retiré définitivement étant donné les nouveaux problèmes économiques qu'il continue à souffrir.

 Durant cette année on met à la vente Le tien, moto de promenade pour domaine qui remplace aux Explorer de de 250 et 350, tu es mis à jour ensuite avec des pneus d'alliage et avec un petit carénée. On prépare entretemps une moto pour occuper l'espace laissé par la Sanglas disparue, naît ainsi la 250 Garde Urbaine, qui étant donné la concurrence de la Moto Guzzi 500 n'a pas eu les ventes souhaitées.
 Je suis aussi essayé, sous demande de la Moto Club Eslugues, de développer une moto spécifique pour son utilisation dans le football motorisé qui paraissait en expansion, mais le succès je n'arrive pas.

 En 1984 on met à la vente une version améliorée de la Formule 3 et on à travailler de nouveaux concepts qui appliquer à ce qui est trial. Mais la situation est réellement désespérée et avec la TR 80 Ossa désuète est obligée de mettre en vente un modèle à un demi - chemin de de ce qui est trial et moins cher de fabriquer : la Trial 303.

 La dernière tentative est de mettre à jour le Gobelet 250, qui est présenté comme Gobelet 250 AE (Démarrage Électrique), c'est un modèle qui n'arrive pas au marché par la complexité de son développement et les coûts que cela comportait.

 Arrive finalement argent de l'administration publique, mais cette fois n'est pas pour sauver à la marque mais pour sa liquidation définitive.

 Terminent ici plus de 30 années d'histoire de d'une de de celles de plus chères marques de motos espagnoles. Ils terminent réellement ???. Non, je crois que nous ne laisserons pas que ceci finisse ici, vérité

 Jaime (Webmaster TMV)